Cela fait 5 mois aujourd'hui que ma Yuka ensoleille ma vie. Je réalise à peine ce nouveau bonheur qui est le mien, je l'ai attendu si intensément !
Pour chacun de mes animaux, je garde une image d'un instant fort le jour de leur arrivée.
Je revois Yuka, dans le kennel de la voiture de la fondation de Brenles, au moment où Stéphanie a ouvert la porte. Yuka que j'avais vue une seule fois, au début du mois et que j'avais attendu en comptant les jours, était là, avec sa présence douce et profonde. Quelle joie lorsque Stéphanie m'a tendu la laisse et de pouvoir dire «piede» pour que Yuka me rejoigne, de monter avec elle dans l'appartement, avec tout son paquetage, notamment son «posto». Oui, elle allait rester, c'était définitif !
Ce 30 mars 2015, où David et moi l'avons photographiée sous toutes ses coutures.
Chaque soir, en m'asseyant devant son posto et lui faisant un dernier câlin... - oui je la borde, c'est grave docteur ? Même pas honte ! - je lui dis combien je n'en reviens pas de mon bonheur de l'avoir, elle, mon premier chien-guide, et premier chien tout court. Je ne savais pas ce que je ratais avant de la connaître, c'est si super d'avoir un chien ! Et un chien-guide, c'est juste magique !
Depuis 5 mois, j'échange quasi quotidiennement des whatsapp avec Ariane, sa super marraine. Ariane n'a pas seulement un cœur gros comme ça, elle a également un humour qui fait mouche à chaque fois. Lire ses whatsapp fait travailler les zygomatiques !
De plus, j'apprends énormément de choses. Car je dois bien le dire, je n'avais absolument aucune idée du travail qui se fait en amont pour qu'une petit chiot devienne un chien aussi magique.
Quel travail font exactement les familles pour que 50% des chiots qu'elles ramènent à la fondation à l'âge de 18 mois soient des chiens si extraordinaires qu'ils se révèlent capables d'apprendre, à la fondation, à se décentrer pour se mettre à la place de leur humain (ce qui, du point du vue du développement cognitif est extraordinaire - ça, c'était la parenthèse psy que je referme aussi tôt -), et ainsi pouvoir tenir compte de l'espace qui est nécessaire à leur compagnon à deux pattes pour pouvoir les suivre ?
Qu'ils attendent patiemment devant chaque obstacle jusqu'à ce que son humain lui montrions qu'il a compris le message et trouvé l'obstace auquel il l'a rendu attentif ? C'est juste incroyable.
Je n'avais pas pensé non plus qu'il y a une période sensible (reparenthèse psy) pour développer certaines aptitudes qui ne pourront plus s'apprendre à l'école et que ce sont donc les familles qui leur enseignent l'art d'être propre, mais pas seulement, et de faire leur besoin dans des endroits voulus.
Je ne sais pas encore tout mais j'apprends avec plein de plaisir ce que me raconte Ariane.
Maintenant qu'Ambre, la chienne beige, la demi-sœur de Yuka qu'Ariane et sa famille ont parrainée a réussi elle aussi le test et est devenue à l'instar d'Ybsi, chienne d'élevage, mais en Finlande (les écoles échangent leurs chiens d'élevage pour diversifier les gènes), Ariane et sa famille parrainent Balou, l'un des 6 chiot qu'Ybsi a mis bas peu avant l'arrivée de Yuka chez moi.
Ariane et moi échangeons des anecdotes, observations au sujet de neveu Balou et tata Yuka. Je découvre donc la progression des acquisitions, et au passage des anecdotes de Yuka et Ariane sait ce que devient le magnifique chiot qu'elle a ramené à la fondation le 13 décembre 2013... Je lui envoie régulièrement des photos, dont certaines se retrouvent ici.
Dans La famille de parrainage de Yuka & L'enfance de Yuka, ma merveilleuse chienne-guide j'avais montré quelques photos de Yuka qu'Ariane m'avait envoyées au début.
Elle m'a fait un énorme plaisir en cherchant toutes les photos de Yuka qui étaient en sa possession.
Il était une fois... Shila, une adorable chienne beigne d'élevage, née elle aussi à la fondation, et qui coule des jours heureux dans le canton de Neuchâtel, et Panther venu tout droit de son Oregon natal et dont je n'ai hélas pas de photo).
Voilà donc Shila le 6 juin 2012, dans la nursery de Brenles où elle attend de mettre bas. C'est la veille de la naissance de cette merveilleuse portée de 8 chiots tout noirs, 4 femelles et 4 mâles.
De cette portée, le faire-part de naissance des Y1, bulletins sur les 4 femelles, deux seront guides, - Yana et Yuka - et une, Ybsi, chienne d'élevage et mère de la portée B2, née le 19 mars 2015. (Les chiens d'élevage sont bien entendu des chiens qui ont également réussi l'examen d'entrée dans l'école, il leur faut d'excellentes dispositions, et les autres sont réformés et placés comme chien de compagnie).
Parmi les mâles, Yoda est également devenu chien-guide et placé le 27 octobre 2014 (il est en tête de couverture du Bulletin 39, du deuxième semestre 2014, de la fondation (cliquer sur le lien).
Quantre sont réformés : Yang est trop puissant. Yin ne voulait pas guider (cette information importante, dans la mesure où cela prouve que les chiens ne sont pas forcés à devenir guide, il faut qu'ils le prennent comme un jeu - et qu'ensuite bien-sûr, leur détenteur déficient visuel respecte leur rythme, leur offre des activités plaisantes, en les lâchant parmi leur congénères). Youki a hélas des problèmes oculaires, Yoshi est trop peureux.
Shila a une merveilleuse descendance :
Après les Y1, elle a eu une deuxième portée, le 22 janvier 2014 qui compte deux chiennes d'élevages, Ambre – qui a été parrainée par Ariane, je l'ai déjà dit –, et Arusha. Attila, Arco, Alpha et Aslan sont en formation. Yxya était trop peureuse, Atlanta, hélas, est décédée, fauchée par une voiture à 7 mois et demi, traumatisant du même coup sa famille de parrainage qui a vécu un événement dont la probabilité de survenue était proche de zéro, (ce chiot ayant fait la même chose que ma Yuka, elle a traversé comme une bombe une ruelle quasiment jamais fréquentée par une voiture ceci pour rejoindre un animal au loin. J'en avais parlé lors de mon récit du BBQ à Bienne... voilà qui me rend encore plus vigilente et me fait refuser les «mais elle ne risque rien !» lorsque je suis en visite chez des amis qui me disent que je peux la lâcher. Non pas tant que le portail d'un jardin est ouvert !).
De ces deux portées, Shila a donc donné naissance à 10 chiots sur 16 qui ont continué la formation où sont devenus chiens d'élevage. Ce qui est plus que la moyenne mondiale de 54% semble-t-il.
La première portée d'Ybsi semble très prometteuse au vu du récit de Balou ;-).
J'aurais aimé avoir souvenir personnalisé de Yuka mais hélas, ce n'était pas possible. Au début, les chiens ne sont pas identifiés individuellement, ils ne le sont que lorsquils sont pucés. À ce moment là, on leur coupe une touffe de poils à un endroit précis, entre les épaules, cuisses, etc. pour pouvoir les reconnaître, car ils n'ont pas encore de collier.
Les premières photos de Yuka sont chez Ariane :Ar
«Ce sont les seules photos que j’ai avant l’arrivée de Yuka chez nous. En fait, on ne peut pas voir les chiots avant 21 jours, puis uniquement sur inscription préalable le mercredi et dimanche de 15h30 à 16h30. J’ai dû voir Yuka deux fois seulement, une fois petits à la nursery, une fois au parc, les photos avec mes enfants. Même au parc, ils sont très vite fatigués et partent se coucher sous l’escalier en bois, en tas, pour dormir. Donc dès qu’un se réveille, on saute dessus pour voir si c’est “le nôtre” pour pouvoir le papouiller un peu. Et une heure passe vite. Ils retournent au box vers 16h30, souper, les dents et au lit !».
Voilà Yuka, à 6 semaines, à Brenles.
Puis, en septembre, à Vevey. Elle a 3 mois.
Sur les quais : première rencontre avec un grand fauve local... : un chat !
Un refrein de Julio Iglesias me monte en mémoire.. mais à la sauce Jacques Villeret dans «Papy fait de la résistance» avec l'inoubliable Jacqueline Mailland »
Car elle n'a pas beaucoup changé, dame Yuka, qui s'est trouvé un nouveau fauve local, à deux pas de la maison !
J'en avais déjà parlé dans l'article »
J'ai fini par l'immortaliser ce nouveau catus felis silvestris qui nargue ma Yukalinette !
Nous la retrouvons au lac de Joux, où elle a nagé, et dans cinq photos, sur gazon.
Voici les trois dernières photos
Dans les 3 suivantes, Yuka est dans le jardin de sa famille de parrainage.
Petite Yuka au jardin
La voilà quelques années plus tard, chienne-guide diplômée, dans la même position chez l'un de mes médecins qui l'adore et l'autorise à circuler librement, sans chabraque, dans sa consultation ;-) Tant mon médecin que moi-même n'avons pas pu résister à la prendre en photo.
Voici les photos que la famille de parrainage de Yuka a bien voulu me transmettre. Quelle chance j'ai !
Chers détenteurs, si vous me lisez, n'hésitez pas à donner des nouvelles de votre chien-guide à la famille qui s'est dévouée corps et âme pour qu'un jour vos pas soient sécurisés par l'ange à 4 pattes qu'ils ont contribué à rendre si merveilleux. Ces familles sont totalement désintéressées. Jamais elles ne s'imposeront dans vos vies si vous ne le désirez pas. Mais recevoir quelques photos, savoir qu'il va bien, rien ne leur ferait plus plaisir ! 😍
Si j'ai des contacts bien plus intenses, c'est parce que le plaisir d'échanger est partagé entre la famille et moi. Si un lecteur qui n'a pas encore osé ce pas prend son courage à deux mains, j'en serai très heureuse. Plus le temps passe, plus il est difficile de passer un coup de fil, ou envoyer un mail, un texto ou un whatsapp. Mais je vous promets que ça vaut la peine !
Il me tarde de faire leur connaissance en vrai lorsque j'aurai réussi mon expertise !
Pour chacun de mes animaux, je garde une image d'un instant fort le jour de leur arrivée.
Je revois Yuka, dans le kennel de la voiture de la fondation de Brenles, au moment où Stéphanie a ouvert la porte. Yuka que j'avais vue une seule fois, au début du mois et que j'avais attendu en comptant les jours, était là, avec sa présence douce et profonde. Quelle joie lorsque Stéphanie m'a tendu la laisse et de pouvoir dire «piede» pour que Yuka me rejoigne, de monter avec elle dans l'appartement, avec tout son paquetage, notamment son «posto». Oui, elle allait rester, c'était définitif !
Ce 30 mars 2015, où David et moi l'avons photographiée sous toutes ses coutures.
Chaque soir, en m'asseyant devant son posto et lui faisant un dernier câlin... - oui je la borde, c'est grave docteur ? Même pas honte ! - je lui dis combien je n'en reviens pas de mon bonheur de l'avoir, elle, mon premier chien-guide, et premier chien tout court. Je ne savais pas ce que je ratais avant de la connaître, c'est si super d'avoir un chien ! Et un chien-guide, c'est juste magique !
Depuis 5 mois, j'échange quasi quotidiennement des whatsapp avec Ariane, sa super marraine. Ariane n'a pas seulement un cœur gros comme ça, elle a également un humour qui fait mouche à chaque fois. Lire ses whatsapp fait travailler les zygomatiques !
De plus, j'apprends énormément de choses. Car je dois bien le dire, je n'avais absolument aucune idée du travail qui se fait en amont pour qu'une petit chiot devienne un chien aussi magique.
Quel travail font exactement les familles pour que 50% des chiots qu'elles ramènent à la fondation à l'âge de 18 mois soient des chiens si extraordinaires qu'ils se révèlent capables d'apprendre, à la fondation, à se décentrer pour se mettre à la place de leur humain (ce qui, du point du vue du développement cognitif est extraordinaire - ça, c'était la parenthèse psy que je referme aussi tôt -), et ainsi pouvoir tenir compte de l'espace qui est nécessaire à leur compagnon à deux pattes pour pouvoir les suivre ?
Qu'ils attendent patiemment devant chaque obstacle jusqu'à ce que son humain lui montrions qu'il a compris le message et trouvé l'obstace auquel il l'a rendu attentif ? C'est juste incroyable.
Pour mémoire, l'article où j'expliquais cette prouesse du chien-guide. Yuka est en arrêt devant une barrière de parking sous laquelle elle pourrait passer, Yuka sait qu'elle doit s'arrêter car ce n'est pas mon cas. Elle attend que je trouve l'obstacle avec la canne et lui dise «brava» pour m'orienter ailleurs se trouve ici » Contourner un obstacle horizontal |
Je n'avais pas pensé non plus qu'il y a une période sensible (reparenthèse psy) pour développer certaines aptitudes qui ne pourront plus s'apprendre à l'école et que ce sont donc les familles qui leur enseignent l'art d'être propre, mais pas seulement, et de faire leur besoin dans des endroits voulus.
Je ne sais pas encore tout mais j'apprends avec plein de plaisir ce que me raconte Ariane.
Maintenant qu'Ambre, la chienne beige, la demi-sœur de Yuka qu'Ariane et sa famille ont parrainée a réussi elle aussi le test et est devenue à l'instar d'Ybsi, chienne d'élevage, mais en Finlande (les écoles échangent leurs chiens d'élevage pour diversifier les gènes), Ariane et sa famille parrainent Balou, l'un des 6 chiot qu'Ybsi a mis bas peu avant l'arrivée de Yuka chez moi.
L'un des 6 neveu, tout noir, de Yuka. Il est couché sur des ballons multicolores et regarde vers l'objectif |
Ariane et moi échangeons des anecdotes, observations au sujet de neveu Balou et tata Yuka. Je découvre donc la progression des acquisitions, et au passage des anecdotes de Yuka et Ariane sait ce que devient le magnifique chiot qu'elle a ramené à la fondation le 13 décembre 2013... Je lui envoie régulièrement des photos, dont certaines se retrouvent ici.
Dans La famille de parrainage de Yuka & L'enfance de Yuka, ma merveilleuse chienne-guide j'avais montré quelques photos de Yuka qu'Ariane m'avait envoyées au début.
Elle m'a fait un énorme plaisir en cherchant toutes les photos de Yuka qui étaient en sa possession.
Il était une fois... Shila, une adorable chienne beigne d'élevage, née elle aussi à la fondation, et qui coule des jours heureux dans le canton de Neuchâtel, et Panther venu tout droit de son Oregon natal et dont je n'ai hélas pas de photo).
Voilà donc Shila le 6 juin 2012, dans la nursery de Brenles où elle attend de mettre bas. C'est la veille de la naissance de cette merveilleuse portée de 8 chiots tout noirs, 4 femelles et 4 mâles.
Shila, labrador retriever beigne couchée dans le couloir de la nursery de la fondation de Brenles. Sa gamelle n'est pas très loin. le sol est rouge, |
Toujours Shila, debout de la nursery de la fondation de Brenles. Sa gamelle n'est pas très loin. le sol est rouge, |
Parmi les mâles, Yoda est également devenu chien-guide et placé le 27 octobre 2014 (il est en tête de couverture du Bulletin 39, du deuxième semestre 2014, de la fondation (cliquer sur le lien).
Quantre sont réformés : Yang est trop puissant. Yin ne voulait pas guider (cette information importante, dans la mesure où cela prouve que les chiens ne sont pas forcés à devenir guide, il faut qu'ils le prennent comme un jeu - et qu'ensuite bien-sûr, leur détenteur déficient visuel respecte leur rythme, leur offre des activités plaisantes, en les lâchant parmi leur congénères). Youki a hélas des problèmes oculaires, Yoshi est trop peureux.
Shila a une merveilleuse descendance :
Après les Y1, elle a eu une deuxième portée, le 22 janvier 2014 qui compte deux chiennes d'élevages, Ambre – qui a été parrainée par Ariane, je l'ai déjà dit –, et Arusha. Attila, Arco, Alpha et Aslan sont en formation. Yxya était trop peureuse, Atlanta, hélas, est décédée, fauchée par une voiture à 7 mois et demi, traumatisant du même coup sa famille de parrainage qui a vécu un événement dont la probabilité de survenue était proche de zéro, (ce chiot ayant fait la même chose que ma Yuka, elle a traversé comme une bombe une ruelle quasiment jamais fréquentée par une voiture ceci pour rejoindre un animal au loin. J'en avais parlé lors de mon récit du BBQ à Bienne... voilà qui me rend encore plus vigilente et me fait refuser les «mais elle ne risque rien !» lorsque je suis en visite chez des amis qui me disent que je peux la lâcher. Non pas tant que le portail d'un jardin est ouvert !).
De ces deux portées, Shila a donc donné naissance à 10 chiots sur 16 qui ont continué la formation où sont devenus chiens d'élevage. Ce qui est plus que la moyenne mondiale de 54% semble-t-il.
La première portée d'Ybsi semble très prometteuse au vu du récit de Balou ;-).
J'aurais aimé avoir souvenir personnalisé de Yuka mais hélas, ce n'était pas possible. Au début, les chiens ne sont pas identifiés individuellement, ils ne le sont que lorsquils sont pucés. À ce moment là, on leur coupe une touffe de poils à un endroit précis, entre les épaules, cuisses, etc. pour pouvoir les reconnaître, car ils n'ont pas encore de collier.
Les premières photos de Yuka sont chez Ariane :Ar
«Ce sont les seules photos que j’ai avant l’arrivée de Yuka chez nous. En fait, on ne peut pas voir les chiots avant 21 jours, puis uniquement sur inscription préalable le mercredi et dimanche de 15h30 à 16h30. J’ai dû voir Yuka deux fois seulement, une fois petits à la nursery, une fois au parc, les photos avec mes enfants. Même au parc, ils sont très vite fatigués et partent se coucher sous l’escalier en bois, en tas, pour dormir. Donc dès qu’un se réveille, on saute dessus pour voir si c’est “le nôtre” pour pouvoir le papouiller un peu. Et une heure passe vite. Ils retournent au box vers 16h30, souper, les dents et au lit !».
Voilà Yuka, à 6 semaines, à Brenles.
Yuka dans les bras de la fille d'Ariane, adolescente. |
Yuka couchée contre la cheminée (dos contre elle), vue de face
|
Yuka couché, e sur une couverture en feutre grise avec, comme motif, des traces de pas foncées |
Sur les quais : première rencontre avec un grand fauve local... : un chat !
MamAri 😘 (Maman Ariane) devant un muret au bord du lac Léman, Yuka au bout de la laisse. Un chat, voire un chaton tigré, pattes blanches, approche d'elle. |
Un refrein de Julio Iglesias me monte en mémoire.. mais à la sauce Jacques Villeret dans «Papy fait de la résistance» avec l'inoubliable Jacqueline Mailland »
Car elle n'a pas beaucoup changé, dame Yuka, qui s'est trouvé un nouveau fauve local, à deux pas de la maison !
J'en avais déjà parlé dans l'article »
J'ai fini par l'immortaliser ce nouveau catus felis silvestris qui nargue ma Yukalinette !
Un chat sur un muret d'un jardin non clotûré sur le trottoir d'en face... sur le trajet de la route «stacca matinale et vespérale». Il ne nous simplifie pas toujours la vie ce brave chat ! |
Voilà Yuka sed (assise) à côté d'un parasol, la laisse autour de son pieu
|
Assise dans l'herbe, elle a un regard un peu tristounet que je crois parfois percevoir chez elle. |
A terra, dans le coin de la clôture boisée du jardin de sa famille |
Grand plan au fond du panier bleu, sur un tapis retourné, elle est roulée en boule, yeux clos, avec une vraie tête d'ange. Son oreille droite est un peu roulée sur le bord du panier. |
Yuka au Lac de Joux |
Voici les trois dernières photos
Yuka assise dans le gazon, elle est attachée au bout d'une longue laisse. |
Yuka est a terra. Elle est face à la photo et nous regarde. Elle a déjà le regard sensible et profond que je lui connais. Elle est magnifique, ma Yuka ! |
Face à la photo, elle a le museau dans l'herbe. |
Dans celle-ci, elle tourne la tête de côté |
Puis ici, elle regarde l'objectif. On voit sa médaille.
Voici les trois dernières
|
Yuka dans sa position de yoga préférée, écrit Ariane. Nous la voyons couchée sur un tapis rouge, sur le dos, les 4 pattes en l'air ! En général elle a la gueule grande ouverte, ce qui n'est pas le cas ici |
Yuka flaire le sol, dans le jardin de la fondation, à Brenles |
La voilà quelques années plus tard, chienne-guide diplômée, dans la même position chez l'un de mes médecins qui l'adore et l'autorise à circuler librement, sans chabraque, dans sa consultation ;-) Tant mon médecin que moi-même n'avons pas pu résister à la prendre en photo.
Yuka couchée sur le dos, dont la photo est centrée sur ses pattes avant replisées sur elle, et qui ouvre sa gueule, montrant quelques dents. Elle attend les câlins ! Ça fait vraiment chien diplômé comme photo 😍 |
Voici les photos que la famille de parrainage de Yuka a bien voulu me transmettre. Quelle chance j'ai !
Chers détenteurs, si vous me lisez, n'hésitez pas à donner des nouvelles de votre chien-guide à la famille qui s'est dévouée corps et âme pour qu'un jour vos pas soient sécurisés par l'ange à 4 pattes qu'ils ont contribué à rendre si merveilleux. Ces familles sont totalement désintéressées. Jamais elles ne s'imposeront dans vos vies si vous ne le désirez pas. Mais recevoir quelques photos, savoir qu'il va bien, rien ne leur ferait plus plaisir ! 😍
Si j'ai des contacts bien plus intenses, c'est parce que le plaisir d'échanger est partagé entre la famille et moi. Si un lecteur qui n'a pas encore osé ce pas prend son courage à deux mains, j'en serai très heureuse. Plus le temps passe, plus il est difficile de passer un coup de fil, ou envoyer un mail, un texto ou un whatsapp. Mais je vous promets que ça vaut la peine !
Il me tarde de faire leur connaissance en vrai lorsque j'aurai réussi mon expertise !
Yuka & Talaria 💞 Merci de votre visite. N'hésitez pas à liker, à partager, à commenter. Votre avis m'intéresse ! À bientôt pour des prochaines aventures 🐾👣 |
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